À quoi sert un imperméable quand il fait beau?

Posté le Dimanche 24 février 2013

Mon cher RER,

Pourquoi écrivez-vous toujours sur les abus des politiques et des privations de libertés alors que nous vivons dans une démocratie et non une dictature comme vous avez trop tendance a l’écrire ?

P.H

Cher P.H

Pourquoi ? Parce que la messe est dite,,,

je me tue a vous le dire,la liberté est de loin la plus belle fille du coin et je la baiserai jusqu’au dernier souffle.Une danse courageuse et un rêve permanent, malheureusement le rêve s’envole, et quand le rêve s’en va, tout se déglingue.

Sûr que pour vous une branlette est suffisante ,le problème est que cela vous rend sourd et aveugle ,con et égoïste.

Je vais vous dire ce qui compte aujourd’hui: Le reste : des jeux à la con pour les Politiciens professionnels et les généraux.

J’ai lu ,vu que 8 millions de pauvres en France,des syndicalistes condamnés qui attendent toujours l’amnistie ,des adultes et enfants qui dorment dans la rue en plein hiver ,des logements vides ,de la répression policière etc…

Alors que faire quand vous avez branché les gens sur ce genre de conneries ? Facile, vous les branchez sur autre chose. Les gens ne pensent qu’à une chose à la fois

 

Et donc a ce propos, j’apprends qu’une nouvelle cause hante nos dirigeants et concitoyens,la viande de cheval dans nos plats (un nouveau poison ???) tombé pile du ciel fait la une de tous les médias .Cela dit en passant pour ceux qui crêve la dalle cheval ou bœuf…

Donc à propos du hachis Parmentier, les troufions de l’AFSSA n’ont-ils rien prévus pour me protéger.Selon le journaliste Thierry Souccar 65 % des experts de l’AFSSA auraient des « liens avec l’industrie », que tous ne déclarent pas.Il y voit l’influence des lobbies agro-alimentaires qui ont un intérêt financier à faire augmenter la consommation de leurs produits, qui rapportent des milliards de chiffre d’affaires, malgré leur nocivité à long terme sur la santé publique.

Mais je vous vois /entend venir blablabla… il y a les bons et des mauvais gouvernements ? Non, il n’y a rien que des mauvais et des très mauvais gouvernements Au fait ,je n’ai plus envie que nos maîtres politiques(ou serviteurs?je ne sait plus) me protège.Qu’ils aillent se faire foutre

 

Et comme disait ce cher vieux Hanck :la différence entre une démocratie et une dictature, c’est qu’en démocratie tu votes avant d’obéir aux ordres. Dans une dictature, tu ne perds pas ton temps à voter.

 

Maintenant oubliez-moi, cher P.H, je retourne baiser,danser,rêver pendant qu’il est encore temps et si j’y risque mes mots, cela sera toujours moins grave que votre baratin sur la Liberté, la Démocratie et l’Humanité, et tout ces sacs a merdes.

R.E.R

 

belino2 @ 5:22
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SATISFACTION

Posté le Mardi 3 novembre 2009

Avez-vous vu , entendu?

Au soleil du matin…

Larmes naissantes du couchant

 Qui assèchent joies et  peines,

Créant du souvenir ou de l’oubli

Eblouissement ou frustration

Comment choisir!

 

RER.

 

belino2 @ 2:42
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je ne rêve pas la nuit

Posté le Mardi 2 septembre 2008

La serviette blanche cache bien des vices 

 Pauvres Ortolans si vous pouviez nous voir 

Baver  notre plaisir de mortel refoulé 

Sur des pensées de vérités  assénées 

Je voyage en couleur, mais Dieu s’en fout 

Les gibets refleurissent  devant les églises. 

 

D’un pied de nez aux coureurs d’ambitions 

Je veux  offrir l’ivresse du pochtron 

A celui qui confesse ses jours de brouillard 

Les  mains souillées 

De sang, par ses yeux versé 

 

Les larmes tombent en pluie 

Quand les chiens partent en curée… 

À quoi sert de beaux souliers 

Si ton costume est rapiécé 

 

Faudra t’il donner une belle image 

Sans pour autant être suspect 

D’avoir un nom ne met pas à l’ abri 

Le romantisme n’a pas pris de gant 

Avec ou sans gloire. 

Pour se révolté de la compromission 

François, Guillaume ou Bukowsky 

Jamais contentés et  par survie 

Donnent aux croquants les réflexions 

 De leurs  graves exploits  … d’inattendu 

 L’inconnue faucheuse devient  un poème 

Si d’ordinaire elle sourie 

 

Allons sans crainte notre chemin 

Gardons notre vie, même illusoire 

Mieux vaut l’ignorance que le savoir 

Le savoir tue….préservant  les référents décisionnaires 

Indifférents…dans leurs salons d’apothicaires. 

Roland Ernest Rinn                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

                                                                                                                                                                                                                                                                                                           

belino2 @ 1:08
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Le temps qui reste

Posté le Lundi 14 juillet 2008

Je l’aime tant, le temps qui reste… 

Je veux rire, courir, pleurer, parler,
Et voir et croire et boire, danser, 

 Et crier, manger, nager, bondir, désobéir
 Et voler, chanter, partir, repartir souffrir, 

 Et aimer a faire des places de temps 

Pour des trains de nuit et de pluie 

Pensées ….Cauchemars ,noirs ou roses

Pour aussi cèder à  nos vie… de virtuoses

Et d’entendre les fleurs faire des rimes 

Même les années de mauvais millésime 

Et ne veux plus parler, mais juste  dire 

A mes errantes transformées en sbires… 

Et avec le souffle, reçu de pleine face, 

Prendre le train de toutes mes dédicaces 

Je ne sais plus où je suis né, ni quand, 

Mais je sais qu’il n’y a pas  longtemps… 

 

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 3:54
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la messe du marmiton

Posté le Dimanche 29 juin 2008

Comme devant la page blanche

Souffrant au bord de la mémoire

Ses yeux reflètent les feux sacrés

Fondant émaux et camés

Dans les mains des pâtons gonflés

Fragile a enfourner 

de  leurs souplesse

Brioche et pâté,

n’aurons de cesse

 à se répandre

comme un baiser utile

Cherchant l’équilibre  sur un fil…

Résultat parfait n’a pas de fourchette

Comme l’oreille musicale, les sens s’affinent

Tous les moments à voir, sentir, vibrer

Droit comme un thermomètre,

 Bruit d’une poularde grésillant, Le temps

Au bout du chemin initiatique, s’apprend

Dans la tête des montagnes d’odeurs

Voyage au delà , tourbillons de saveurs

L’attentedevant le tableau rêvé

Prend forme, et ombre, et couleurs

Depuis  les boites  refermées,

Déjà quand  l’enfant n’est plus

La récompense, n’est  pas souhaitable

Seul, des coins de bouches relevés

Lui donne  une belle envolée

Flottant entre deux mondes

Sans frontières, sans trésors

Le vôtre et le sien……..

Roland Ernest Rinn 

 

belino2 @ 1:40
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Le cri de la chair

Posté le Vendredi 27 juin 2008

Hier on m’a demandé….Pourquoi j’écris, 

 Je ne suis pas intéressant, mais vous ? 

Je  fais la cour à des rêves surréalistes  Voyez, Je faisais des mots en cachette, 

C’était un péché  de comprendre l’incompris.

Francois Villon n’a pas connu a son époque , ce rire

 Nos bourreaux ont aujourd’hui une conscience 

Les tibétains, les irakiens, les bosniaques et tous les autres 

Tous ces trous dans nos cerveaux  Pourvus que l’on mange bien

et assez devant nos écrans 

D’ailleurs c’est bien pratique, on ne sent rien 

Pas d’odeurs… la misère pue!!! je vous le dis

sauf dans les clubs , les salons et les etats majors

 De quoi dégueulé, vraiment !!!! 

Les pensées accaparées ne fons pas des questions 

Un esprit subsiste si la pensée est individuelle  Seule  la foule s’en lave les mains, votez !!!!!

 On peut tout admettre, Mais comment ca c’est passé ? 

Je ne peux pas  dire, je pleure  Avec le temps on se sent perdu,

 Les vieux dans des maisons a mille sous Les jeunes sont aujourd’hui actifs …

 Puis on invente des sommets pour bien dormir  FAO, KYOTO, RIO pour les uns… investir ? 

Pour les autres, parvenir… pour le moins ? Avec de la chance, survivre…pour quelques grains 

Tous, des  élèves de  Milgram deviendront ?  Et j’ai tout de suite vu  ces gens que l’on tient en laisse,

 Au travail, au shopping ou à la messe Parlant fort, de certitudes, ou de fesses 

On ne fait pas la poésie avec des tracts  On la fait avec sa gueule bien ouverte 

Sur les verbes habituels et de préférence actifs En préservant nos amours chéris 

La femme est un être irremplaçable,  Quand elle est remplaçable faut pas hésiter 

C’est ce qui m’est arrivé, tu comprends ?quelle connerie Je vous le dit, il faut prendre, tout prendre 

 L’amour c’est le don de soi pendant que l’autre te donne  Je vois le monde un peu comme on voit l’incroyable 

 Et l’incroyable c’est ce que l’on ne voit pas Seuls les violons sont capables d’émotions  .

Et moi qui continue à vouloir plaire !!! Viens chez moi, mon amour, viens il y a du feu 

J’aime a connaitre la soif et la faim À travers ton cœur fendu ou trop petit  

 À prendre comme un miracle  Où subsiste toujours mon ego au prix fort 

La nuit je voyage sur des souliers À travers les plaines fumantes 

Laissant déborder, par manque d’air  De moi…….. Le cri de la chair. 

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 1:52
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PHOTOMATON

Posté le Mercredi 28 mai 2008

 

Je sais que vous avez envie que je vous dise

Ce que je hais ou ce que j’adore,

C’est plus fort, et bien allons y

Je hais la bêtise sous toutes ces formes

Je hais l’ennui et la bêtise distille l’ennui,

 La bêtise au front des béliers

Je hais les gens faux et hypocrites,

 Je hais la lâcheté, la lâcheté morale,

Je ne hais pas celui qui fuit sous les bombes car je hais la guerre,

Je n’aime  pas la musique dodécaphonique

Qui comme son nom l’indique compte les demi-tons

 Comme on compte les huitres à douzaine,

Je n’aime pas les meubles façons anciennes pour ceux qui veulent briller

D’ailleurs je n’aime pas tes yeux qui pétillent en montrant ton pouvoir,

 Je n’aime pas la pluie quand elle s’attarde,

Les tableaux à chier sur une mer bleue  et ses dauphins

Les académies qu’elles qu’elles soient car on y vieillit trop vite.

Les jurys, je hais les jurys de toute mon âme,

Les critiques quand pour faire un mot

Ils détruisent les pièces de théâtre ou un livre,

 Les critiques à l’aise devant un art difficile,

J’aime l’art et la mélancolie même en plein hiver

Je hais la foule muette devant un pantin de la politique,

 Je hais au fond, je hais ce qui est haïssable comme on dit

Et cela ca fait beaucoup au bout du compte

J’adore le soleil, tous les soleils…

Je hais les cours sombres et humide,

 J’adore les fleurs des champs,

Je hais les fleurs artificielles,

J’adore les gens qui cueillent les fleurs des champs,

J’adore le vent, la nature,

Le bruit des choses simples,

Je hais le bruit des voitures devant ma maison

Et les trompettes de l’apocalypse

 Quand elles font pin-pon pin-pon comme les pompiers et l’ambulance,

 J’adore l’air libre et que l’on respire a grande gorgée

Avec un être qu’on aime et qu’on adore

J’aime les rêves qui  disparaissent au réveil

J’aime les familles, toutes les familles

Je n’aime pas ceux  qui lavent la poésie

La poésie ca sent ce dont tu as envie

Et ca jette à la face des poufiasses leurs crocos ridés

Je n’aime pas les discutions dans le vide

Ca me fait chier et j’en reviens à l’ennui

J’aime le magicien d’Oz et Mr Smith au sénat

Et les raisins de la colère …réveillez-vous !!!! C’est aujourd’hui

J’aime mes enfants parce qu’ils m’aiment simplement

Moi, Je ne sais pas ce que c’est d’être très intelligent

Moi, Je danse dans les boites noires

Et je laisse la fleur de mon  désespoir  aux pauvres mecs…

Roland Ernest Rinn 

 

belino2 @ 3:35
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Les deux passantes

Posté le Lundi 19 mai 2008

Voir la vie telle qu’elle est et non comme elle devrait être

L’Indécence, c’est de ne pas mourir au printemps quand on aime le lilas

Tu entres  en  enfer, quand s’accroche a son bras, le bras de son quelconque

 A quoi ca rêve, un taureau dont l’œil se lève et qui découvre les cornes des cocus

Quand elle  laisse mon cœur aller se perdre

Dans son égoïsme  aveugle ,  si pratique

Parfois, elle vient … pour voir les étoiles

Mais oublie …qu’elles sont tombées dans la boue

La femme est un peu a coté de l’amour, pour celui qui rêve

 Mais, j’ai pas bien compris les femmes et c’est trop tard

Ensuite ,ne  plus que parler qu’à son silence

Etre désespéré mais avec élégance

N’avoir plus grands chose à aimer mais écouter son cœur qui danse

Puis… il y a elle avec de la paille dans les cheveux  , et qui pense …

Plutôt a un  mistral gagnant

Qu’a un riche et lointain amant

On commence alors a vouloir a nouveau

Rire , se lever ,affronter des moulins à  peaux

Alors  ne plus s’entendre dire ….

Sans tendre , ….disconvenir

A mon dernier repas, je veux qu’on y voit….

Mon costume de bois léger  partir avec  le cygne de Saint Saens

Sortir les nappes a carreaux posées sur l’herbe

 Faire tinter les bulles  en mémoire de moi

Sur un clair de lune de Debussy

Avec des rires d’enfances

Et des odeurs de rêves

En passant .

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 1:29
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AIRPORT…..

Posté le Jeudi 8 mai 2008

Comme une montagne de Nébo L’homme se cale incognito 

Contemplant la Terre promise, Comme le fit l’ancien Moïse 

On se voit errer 

Pour 4 heures a tué  Juste avant de mourir 

 Ventre d’avion…Désirs 

Rien de poétique Apres les portiques 

 Situation réelle,  proche de l’art Des boutiques.des bancs des gens, des bars 

 Niant pratiquement, L’existence, l’agrément. 

Mal aux jambes… C’est ici l’espace. 

Sans soucis trouvant sa   place Elle, dans un coin ébauche…. le tableau, 

De  sa boite de couleurs …. Des départs Perdue, fragile comme un arbrisseau 

Donnant le change  aux anonymes-stars  Ignorée,  me chamboule Moi,  libre dans la foule  Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 14:35
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Une journée pitoyable

Posté le Mercredi 16 avril 2008

Cyrano est mort d’un coup de tête pour Roxanne…. Où sont les hommes … l ‘esprit se meurt… 

Les rêves parfois anodins …..Se fanent Les rivières  mouillent lentement les cœurs 

Fermons les yeux pour commencer, 

Afin de mieux voir les mots Qui, peint sur des images alignées 

 Font perdre les couilles à tous les sots, 

L’hiver réduit la lune au silence  Ce calme encore est trop bruyant 

Le printemps annonce la romance, Le soleil … les abonnements   

Ceux qui ne  livrent par la bouche, 

   Mais sûr d’un attrait à faire mouche   Offre  à  la prétendante Epistolière Une aguichante robe de  Prisonnière 

Ô souvenirs, Ô rêves de mon enfance vécus  De  mes premiers amours abstenus … 

 Ne  me faite pas  offense par frasque De  cœurs  asséchés du manque de masque 

Je vous quitte pour une journée formidable 

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 14:28
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CHERE AMIE

Posté le Mardi 15 avril 2008

Je crois qu’il vaut mieux s’aimer  moins
qu’on ne s’aimait  tous
c’est merveilleux votre cœur et le mien
 c’est un grand feu
 c’est une flamme jusqu’au fond de l’âme
 c’est un programme ambitieux.
aujourd’hui le drame pour vous et pour moi
 c’est que ce bonheur soit monté si haut
qu’on a eu chaud là-haut dans l’espace
entre la mer et les nuages, et ….
a force de ne regarder qu’en haut
on oubli qu’il est bon de sauter dans les flaques d’eau
 et le temps qui vient,
 le vôtre et le mien , nous promet , 
a sa table ouverte
……une chaise vide

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 2:34
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le naufragé

Posté le Dimanche 13 avril 2008

Des bottes de cuir ont eu raison de son talent

En lui coupant la route de sa jeunesse

Depuis, Il est devenu roi, indument

Dépossédé de gloire par  gentillesse

Sa voix, ses gestes   , son imagination

Maniant le comique, par compassion

Son royaume sentait  l’herbe coupée, le colchique

Effluves visibles  comme des notes de musique

Sacrifié pour une nouvelle  génération

Naufragé  libre  en conditionnelle

Effeuillant , par bouts ses  longues ailes

Bien trop grande pour  un aliboron

Espérant une  revanche illusoire

Esclave nourricier, il  aimât  aussitôt

Dès l’aube, sentant sa poitrine de trop

Engendrant son immanquable victoire

Arrive … Sur l’océan vide,   la main tendue

Le bout des doigts bleu  d’encre azur

A la lune   ses mots cachés…. bus

Un prince gueux dans le jardin d’Epicure

Pleure petit prince … et trouve le  sage

Comme un camarade normal … loyal

Un livre ouvert, n’interdit pas l’image

Une chapelle mène toujours à sa  cathédrale

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 2:15
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LA COLLINE AUX MIRABELLES

Posté le Samedi 15 mars 2008

Je sais que tu ne seras plus autrement qu’à cet instant 

Sous ta robe, au vent léger, d’herbes hautes vêtues 

Ma vue  dépossédé par ce corps 

Où les ravines de  ta peau ne sont pas  encore 

La vie prise comme elle est venue 

Sans condition, en silence 

On s’élance vers notre récompense 

Un ange qui passe 

Où rien n’est dégueulasse 

Un parterre de van gogh au loin 

Un soleil oublié, vivant à notre insu 

Nous éblouissant sans nous brûler 

Même si nous avons tout perdu 

Que cela soit au fond notre chance 

En une seconde, croyant n’être plus 

Rions, d’un rire bon, rire sage 

Il y aura  toujours autant de lumière 

Si nous savons l’habillé 

D’une bonne…… très,

très bonne nouvelle . 

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 3:03
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la dernière danse

Posté le Samedi 15 mars 2008

j’ai encore en tête

ce bouquet de fête

 me fait  a chaque fois

panser mes choix

quand faudra t’il donc

avant d’y croire

changer les mauvais boutons

 entendre cette melodie du bonheur

 changer l’hiver en été , danser sur le temps

comprennez ,je vous sais heureux , mais pas suffisant

le soleil est ailleurs ,et je suis heureux ,sauf que peut être…

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 2:20
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UNE CHANCE SUR CINQ MILLIARD…..

Posté le Dimanche 13 janvier 2008

J’ai vu , j’avais vu , je me souvient et vous ?

La neige en hiver ,je m’en souvient mes chaussures étaient trouées .

Et cet homme respectable qui dors si bien au dessus des ailes innocentes car fleuries chaque années .

J’ai même rencontré un tueur bureaucrate qui me prouvais sa légitimité par laquelle le bus s’arrêta là .

Shéhérazade des « une et une nuit »  que j’ai croisé le temps d’un manteau .

Et lui , rencontré une nuit et embarqué au matin dans un train , pour son salut ….pour mon salut ,bordel !!! Pas le sien .

Mais pourquoi donc fermer sa gueule !!! Peut être pour ne pas : se perdre , se faire marquer sur de petits papiers ,

un disque dur ,une liste secrète .

J’avais aussi vu , comme ça , discrètement , dans un coin , des jambes longues , si longues ….offertes .

Je me souvient de l’odeur de ce bruit , sur la glace , de face

…mon nez est né ce jour là .

La fumée , j’aime pas …le feu , oui , sa chaleur , il réchauffe , il réuni , nous , il nous as amnésie ,

un mois ,un an , cinq ans , je ne sais plus .

Je me souvient juste merci père , merci mère , d’ou je viens , brave et obéissant comme des exemples .

Puis j’ai vu : les belges , allemands , luxembourgeois ,hollandais, espagnols , russes , autrichiens ,

péruviens , tunisiens , anglais , italiens , américains ….moi je suis Français avec toute mon arrogance et leurs sourires .

Ah oui , je me souvient aussi de ne pas avoir été malheureux ,  ni très gentil , mais faut -il se taire ?

Et puis toi , l’illettré du quartier , grand dadais aux biscottos et copains choisis des derniers rangs , ce jour là tu m’as construit sans le savoir , d’ailleurs , depuis tu est mort sans le savoir .

J’ai aussi rêvé que mes nuits étaient belles , décadentes et arrosées , tellement arrosées ….qu’au matin , plus rien ….était-ce réel ?

Un cheval a bascule , blanc , grand , plus grand que moi , et John Wayne a la télé … j’avais pas de chapeau .

Mon premier cochon tué , là au milieu de la cour , dans cette ferme , j’avais sept ans et une bassine dans les mains , « c’est pour le boudin noir , n’en perd pas une goutte » me dit-on !!!!

Tout est prétexte a leçon , une seule devise ‘regarde ,écoute , comprend ‘ , du coup le premier jet me suffit …et si j’avais fait autrement, serais je plus loin aujourd’hui ?

J’avais une chance sur cinq milliard d’être a ta place . Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 14:00
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C’EST PAS ECRIT ,C’EST PAS VU , NULLE PART…

Posté le Mardi 8 janvier 2008

bonjour toi,

si je t’ai entendu ,tu l’as dit

tu vois si bien ,si clair , si trop

Je dois te parler

Je t’ai vu l’autre soir dans ce club

tu sais le club des céligrabataire de l’esprit

avec ses rayons bien rangé par categorie

j’ai selectionné quelques souhaits , si,si on as le droit!

pris mon caddie  rempli de mes mots

et lancé quelques uns par ci,quelques uns par là

Tu écris toi aussi ?tu es seule ? ah t’as quelqu’un

Pourquoi ne viendrais-tu pas chez-moi demain soir

Tu pourras me montrer tes mots en live

N’oublie pas d’apporter à boire

au cas oû ces mots soient secs

Mmh, tu es un génie, ma foi

Moi aussi j’essaye d’être un bon coup

Je vois du génie dans ce que tu écris

c’est difficile d’etre au top au premier jet 

Ce que tu es belle… belle et talentueuse

T’inspireras-tu de moi dans tes écrits ?

Mmh, tu sens bon

Tu parles beaucoup de ta recherche d’affection

Je la recherche aussi

Tu veux venir t’étendre un peu sur mon lit ?

Tu as bien dormi ?

Pourquoi es-tu tout drôle ?

Tu n’as pas aimé la nuit dernière ?

N’as-tu pas enfin trouvé cette affection dont tu voulais tant ?

Je suis encore jeune et toi aussi

C’est quoi le problème ?

Je ne te comprends pas 

je ne comprends rien à l’existence

je devrais rendre ma vie et oublier ces rêves ridicules

je vais me faire foutre ailleurs !

Roland Ernest Rinn 

belino2 @ 22:27
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